Y
vivotait sans concession,
Y n'était d'aucune confession,
L'a laissé choir sa profession
Qué couillon
! (bis)
L'a pris la rout' un jour de mai
Y ne s'est jamais retourné,
Ni bras d'honneur ni pied de nez
Qué couillon ! (bis)
Ici
on l'avait oublié,
Avec nos guerr's nos amitiés,
Avec nos loupiots, nos moitiés
Ce couillon ! (bis)
On a su qu'à Sao Polo
Y menait pas la vie d'château,
Qu'y s'traînait comme un mendigot
Qué couillon ! (bis)
Il aurait filé par la bande
Jusqu'au Cordillère des Andes,
L'aurait péri au cul d'un' grande,
D'un souillon
(bis)
Il était né d'une bourgeoise,
Une sainte Marie Françoise
d'un paternel roi de l'ardoise
D'un couillon ! (bis)
Jean Victor
ESTIENNE